Quand un proche ou un parent n’arrive plus à s’occuper de lui-même convenablement, il est possible de demander un congé de solidarité familiale. C’est l’une des nombreuses allocations familiales proposées par le gouvernement. Durant toute la période du congé obtenu par le proche, il n’a pas le droit de bénéficier d’une autre source de rémunération. Sauf l’allocation journalière d’accompagnement (AJA). C’est possible, oui, mais sous certaines conditions. My Legacy vous explique en détails.
Tout le monde ne peut pas avoir un congé de solidarité familiale. Le demandeur doit impérativement avoir l’un des liens suivants avec la personne bénéficiant des soins :
Ce n’est pas tout, vous devez également fournir une preuve du médecin à votre employeur qu’une personne de votre entourage doit bénéficier de soins spécifiques car elle est touchée par une maladie qui peut être critique pour son diagnostic vital.
Vous respectez ces conditions vous souhaitez obtenir ce fameux congé ? Rien de plus simple, il suffit d’envoyer une lettre recommandée, un mail ou alors remettre en main propre le document à votre employeur (15 jours avant le début du congé). Dans cette demande, vous préciserez :
Vous vous souvenez qu’au tout début de l’article, nous avions évoqué le fait qu’il était possible de cumuler un congé de solidarité familiale avec une allocation journalière d’accompagnement en fin de vie ? Tout comme le congé, il faut respecter certaines conditions. Les voici.
Depuis le 30 septembre 2020, il est possible de toucher l’AJA, selon certaines conditions :
Pour allez plus loin :